Selon le baromètre d’EY publié le 4 juin 2019[1], la France se classe en 2e position européenne en matière d’attractivité, juste derrière le Royaume-Uni mais devant l’Allemagne, pour la 1ère fois depuis 10 ans.
Nous devons nous réjouir de cet excellent classement, qui fait écho au dernier bilan de l’OCDE sur la France, très positif sur l’impact des réformes menées depuis deux ans par le Gouvernement.
En termes d’attractivité pour les investissements directs à l’étranger, la France arrive en 5e position mondiale et gagne deux places par rapport à 2018. On constate de plus une hausse de 85% de projets de Recherche et développement par rapport à 2017, soit plus que l’Allemagne et le Royaume-Uni réunis). Enfin, 80% des dirigeants et cadres dirigeants interrogés trouvent que la France est une localisation satisfaisante du point de vue des intérêts de leur entreprise et 70% déclarent avoir confiance en l’avenir de l’industrie en France
Ce bilan très positif est notamment le résultat des réformes que nous menons en choisissant de développer la compétitivité par la transformation du CICE en allégement de cotisations pérennes ; en encourageant l’investissement par la réforme de la taxation du capital pour qu’il s’investisse dans les entreprises ; en favorisant le travail par la suppression de la taxe sur l’intéressement pour les PME, pour mieux partager les fruits de la croissance.
Il faut continuer sur cette voie, en investissant encore davantage sur les compétences et l’éducation. C’est comme cela que nous gagnerons notre bataille contre chômage, et pour l’emploi.
[1] Baromètre de l’attractivité de la France 2019, réalisé par le CSA pour EY.
