EDITO Une semaine marquée par la reconnaissance de la place des femmes dans la société et dans notre histoire

Madame, Monsieur,

Cette semaine a été marquée par une succession d’événements marquants pour les droits des femmes et leur reconnaissance dans l’espace public.

Lundi dernier fût à cet égard un jour historique puisqu’il a vu l’inscription dans notre Constitution du droit à l’Interruption volontaire de grossesse.

Attendu depuis des années, c’est l’aboutissement d’un combat majeur des droits des femmes débuté il y a des décennies par des héroïnes qui ont pris d’immenses risques pour que notre société évolue.

La cérémonie qui a eu lieu Place Vendôme vendredi était un grand moment républicain.

Elle se tenait par ailleurs le 8 mars, date choisie pour être la Journée des droits des femmes. Au-delà du symbole, cette journée est surtout un moment pour faire un point sur les avancées en matière d’égalité entre les hommes et les femmes, et les progrès à venir sont encore nombreux.

Notre majorité, avec le président de la République, a fait beaucoup depuis 2017. Notre société progresse lentement mais sûrement, vous trouverez dans cette lettre d’information un condensé de l’ensemble des mesures prises et des droits ouverts aux femmes.

Plus proche de nous, au Pays basque, nous avons également eu l’occasion de célébrer les femmes qui ont participé à notre histoire commune.

J’ai en effet participé jeudi à Bayonne au lancement d’une collecte de fonds visant à participer à l’édification d’une œuvre mémorielle dédiée aux femmes résistantes qui ont agit au Pays basque.

A l’initiative de l’association Les Bask’Elles et avec le concours de la mairie de Bayonne, l’histoire de ces femmes oubliées a été retracée et ce sont aujourd’hui 24 résistantes dont on a retrouvé le nom. Une œuvre d’art est en préparation pour leur rendre hommage pour laquelle chacun peut participer. Vous en trouverez le détail plus bas.

Ce ne sont là que quelques faits qui montrent à la fois le chemin fait pour l’égalité réelle entre hommes et femmes et ce qu’il reste à faire pour rendre leur rendre leur juste place dans l’histoire.

Ces initiatives ne sont pas au service d’un camp contre un autre. Tout au contraire, elles servent notre commune fraternité.

En confiance,

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