Depuis 2017, une action déterminante pour la jeunesse

A notre arrivée aux responsabilités en 2017, nous avons travaillé à une refonte de l’action de l’Etat en faveur des jeunes pour leur permettre une meilleure insertion professionnelle qui était un angle mort de nos politiques depuis des décennies. Nous savons pourtant qu’elle doit se préparer bien en amont pour qu’à la fin de leurs études, longues ou courtes, les jeunes puissent trouver leur place dans la société et s’épanouir dans l’activité qu’ils auront choisie.

En la matière, notre action en faveur de l’apprentissage a été une réussite exemplaire et devrait nous permettre de tenir notre objectif : un million d’apprentis en 2027.

Focus réforme de l’apprentissage

Grâce au dispositif « 1 jeune 1 solution », ce sont plus de 830 000 contrats d’apprentissage qui ont été signés en 2022 soir 3 fois plus qu’en 2017 ;

Parmi ces apprentis, il faut souligner les 10 000 apprentis en situation de handicap en 2022, soit 21% de plus par rapport à 2021 ;

6 mois après l’obtention du diplôme, 65% des apprentis sont en emploi ;

Dans le supérieur, avec un BTS, 7 apprentis sur 10 sont en emploi à l’issue de leur formation ;

Revalorisation de la gratification de stage pour les élèves de lycées professionnels jusqu’à 2 100 euros.

Les jeunes sont aussi extrêmement engagés dans la société, que ce soit pour des dispositifs d’entraides aux plus fragiles, la citoyenneté ou la protection de l’environnement et la lutte contre le changement climatique, c’est pourquoi nous devons trouver les structures qui leur permettent de mettre leur énergie et leur volonté dans la réalisation de ces actions au service de notre avenir commun.

Ainsi pour les encourager dans cette voie de la transition écologique nous avons incité à la création des « éco-délégués » dans les établissements scolaires pour que chacun puisse s’emparer de ce défi qui se pose à nous tous.

Depuis janvier 2023, nous avons également mis en place une prime de 100 euros pour les jeunes conducteurs qui utilisent le co-voiturage, moyen de locomotion que nous devons soutenir, en milieu urbain comme en milieu rural, ou encore une aide de l’Etat de 150 à 2 000 euros, sous condition de revenus pour l’achat d’un vélo classique ou électrique.

Cela se matérialise aussi par l’incitation à consommer différemment et en particulier à recycler pour lutter contre la surconsommation grâce au forfait réparation pour les produits électriques et électroniques dont on peut trouver les points de réparation labellisés via ces liens : https://www.ecosystem.eco/ et https://www.ecologic-france.com/ecologic/fonds-reparation.html
Préparer l’avenir des jeunes c’est aussi s’engager pleinement dans l’objectif de réduction des inégalités qui passe par 2 points essentiels : l’amélioration des apprentissages sur le temps scolaire et le développement des activités annexes, culturelles et sportives.

Nous avons entrepris pour cela des actions fortes en matière d’éducation, avec des recrutements massifs dans le premier degré et un budget en hausse continue depuis 2017 pour que les élèves des milieux les plus défavorisés puissent bénéficier de mesures spécifiques.

Ce fut le cas notamment avec:

– Le dédoublement des classes de CEP et CE1 en Réseau d’éducation prioritaire (REP) et la limitation à 24 élèves dans le reste de la France avec des résultats probants;

– La mise en place des petits-déjeuners équilibrés et gratuits dans les écoles des réseaux prioritaires pour plus de 150 000 élèves;

– La mise en place dans plus de 3 900 communes de la cantine à 1 euro;

– Le doublement des unités d’enseignement dans l’autisme dans les écoles maternelles et élémentaires depuis 2018;

– Le lancement des « vacances apprenantes » depuis 2020 et qui ont bénéficié à plus d’1 million de jeunes.

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