Ce qui a changé pour les foyers français depuis le 1er avril

Comme à chaque début de printemps, un certain nombre de mesures que nous votons au fil de l’année se concrétisent et sont entrées en vigueur au 1er avril.

L’arrivée du printemps 2023, s’accompagne d’une première en matière d’allocations chômage qui ont été, pour la première fois depuis leur création en 1958, revalorisées à hauteur de 1,9 % pour compenser la baisse du pouvoir d’achat des demandeurs d’emploi.
Le RSA et la prime d’activité sont, respectivement, passés à 607,75 et 595,25 euros et les allocations familiales versées par la CAF sont en hausse également depuis le 1er avril.

Les mesures protectrices prises par le Gouvernement et la majorité pour protéger les Français fasse à la hausse des prix ne s’arrêtent pas là. Il y a, par exemple le bouclier tarifaire, ou encore le trimestre anti-inflation qui a déjà prouvé son efficacité puisque les prix des produits des paniers des enseignes participantes ont baisse de 5 % en moyenne.

Nous pouvons et nous devons faire mieux pour le portefeuille des Français. C’est collectivement que nous y parviendrons. Il faut donc, outre la mobilisation de l’État, que la grande distribution poursuivent les efforts déjà consentis et que les employeurs qui le peuvent se saisissent des mécanismes qui leur sont offerts pour augmenter autant que faire se peut les revenus de leurs salariés.

Sur un autre thème, cette année est à marquer d’une pierre blanche car la lutte contre les outrages sexistes et sexuels avance grâce à la transformation de cette simple infraction en délit passible d’une peine de 3 750 €.

Enfin, le 1er avril a, cette année, rimé avec la fin de l’indemnité carburant de 100 € mise en place en janvier dernier au profit des 10 millions de travailleurs modestes qui avaient jusqu’au 31 mars, contre le 28 février au départ, pour demander à bénéficier de ce coup de pouce en raison de la flambée des prix de l’énergie.

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